Eliany Marc – Revue

Revue

Une terre de faience miroitante

Le peintre d’un ciel de l’horizon

Philip Levy, plus 1998, Paris.

Il existe deux marques distinctes, deux Marc Eliany. Deux plans, deux pans de l’individu, comme deux jambes. Deux complexes r?seaux, souterrains et apparents ? la fois qui constituent, construisent l’oeuvre et l’?trois. Jouet la trame est toute en m?me temps, au jour et ajour?, F?conde et secr?à.

Le premier pan est celui d’une ?vidence int?rieure port?e en ce. Ce lieu est une ?vidence, une histoire, son histoire de juif marocain-canadien-isra?lien-europ?en-mondialiste. Histoire structur? par une tradition enfouie et pens?e, autrefois, pour lui m?moi, et pourtant si pr?sent. Elle ne cesse de le travailler pour produire un ?camelote. Qu’est ce que c’est cet ?camelote? Vu lieu doubl? d’un h?ritage et d’une m?moire retir?e et d?baril? par une conscience, un analitique souvenir prope ? fils ?poque, ? sa nature d’?tre humain. Pourtant cet ?tat Guarde une trace: une vie touchante, une innocence bless?port e?e en lui qu’il ?voquera – d’une fa?sur ind?l?bile -? dans le regard des enfants d?Racin?voici: Tehyia, Sinayit et Yamit, ré?Racin?s ? nouveau – ?Videm; qu’il evoquera par cette fleur color?e au rouge de coquelicot ou perdue adroitement sur le c?t? de la toile pr?envoyé?e et offerte; qu’il evoquera par ce corp de juif comme crucifi? dans les camps- exhum? ou enterrer?? Mort ou vivant? Tel une deposition dans un instant arr?t? Donn? ? voir comme une re-d?couverte pour que l’on oublie pas.

Signifiant comme “l'Ecorch?” de Rembrandt avec heureuse finesse du peintre- un clin d’oeil ? l’art de composer de Chagall. Derriere lui sommes nous en pr?sence du bourreau ou du fr?ré? La question n’est peut ?tre plus l?. Les yeux absents montrent que ce qui compte c’est le geste, la choregraphie repr?envoyé?e. Le geste ? double sens qui prouve qu’il s’agit l? d’une histoire sans fin reposant sur l’extr?me liruite de l’ar?te aux versants li?es et peut-?tre confondus commme deux ailes d’ un m?me risque -perp?Tuel- celui d’une mise ? jour ou d’un enfouissement vers l’oubli. Oubli aux alentours sombres qui rappelle le saisissement du “Retable d’Essemheim de Gr?nwald” et le tragique du Caravage. Car ce qui saute aux yeux – t?t ou tard – t?t ou trop tart, c’est cette complicit? volontaire ou non dans l’horreur comme desormais universelle – ce qui compte, c’est le lien entra?n? malgr? tout, malgr? soi, dans ce rapport entre deux ?tres pour lesquels nous attendons – souffle et battement en suspend – que reconnaissance et conscience soient enfin d?finitivement acquises. Cette oeuvre nous permettra de l’esperer au del? de ce double risque.

porc Mais?re cette fausse apparence et simplicit?, Marc Eliany continue de nous mettre en garde par ce monde qu’il d?voile et ouvre en d?signant ce pli au retour sur lui-m?moi. Voila que ses origines orientales, foulard d?licat et coquet autour du cou de l’isra?lienne qui aussi signifie son appartenance; ce voile comme une peau sur la peau peut s’apparenter ? l »?piderme de l’eau et frisonner au moindre vent, au moindre soupir, au moindre sentiment. Au moindre souvenir et nous revenons l?, ? ce qui caract?rise ce premier plan, Morceau de votre latine, l’ histoire, vue religieuse, sociologique et anthropologique de cet artiste exprim?e par une lumi?re mouill?e, inconsolable et qui donne aux choses un halo d’un autre monde, la merveille d’une ros?par matinale – l »?blouissement d’un avenir ? ré?finir. Car si l’homme ?bloui pareil ? “L’Etranger” de Camus peut se perdre, ce “mouill?” comme l’on dit en aquarelle apporte fra?cheure dans ce desert et ne conduit pas ? un aveuglement ? vue fine mais bien au contraire ? rouge vue?finition toujours port?e plus loin et plus haut que l’on entrevoit dans “les colonnes de l’espoir” par une vue inverse de la vue plongeonte, c’est ? dire du bas vers le ciel dans un mouvement tourbillionaire et vals? qui peut s’apparenter au danse religieuse, souffique, en arabe voulant dire “morceau de laine”, danse enivrante et extatique o? tente de fusionner corps et divin. Ces colonnes qui tournoient ont quelques choses de baroque et rappellent les fresques de guilio Romano pour le Palazzo delle T? ? Montoue. Le baroque devient chez Marc Eliany vu baroque d’approche, approches du ciel et de ses mythes. Il ouvre par le ciel – le ciel lui m?moi; et la ligne d’horizon n’est plus ? l’horizontal de la hauteur des yeux, mais bascul?e au sommet dont l’altitude est infinie… Pos?e dans un coin du bleu… Alors il s’eprend d’une musique intime dont sa main f?brillant, comme celle du compositeur note et griffonne des signes au plus pr?s des mots et de la calligraphie, comme dans “A propos de la?ré” la? nous revient l’image du “Philosophe”de Rembrandt se trouvant au mus?e du Louvre. Des signes au plus loin du litt?ral, comme une vibration en toute langue, évt?ré?e par le biologique, l’humain, contenue dans l’arch?typale, c’est ? dire, dans le mod?le primitif. C’est la marque du moment, l’empreinte d’un ?nervement de la premier situation… comme chez Soutine…

Dans ce d?placement le long des oeuvres, ce parcours, où le ?prouves la pr?sence d’autres artistes, Sta?l, Klee, la periode Fauve de Matisse, Cézanne, un peintre juif Y?m?nite avec son “Immigrant en costume traditionnel.”

avr?s ce lieu traditionnel, son enfance, son nomadisme, l’autre pan est celui d’une projection dans un devers ? ellaborer plastiquement.

Ce deuxi?me volet qui doit rester ouvert ? votre imagination, concerne la fabrication, le processus m?cr me?ation de l’oeuvre. Oeuvre subtile qui me semble r?gie sous l’ordre de la superposition et de l’accolement. ré?p?ts et juxtapositions par deux axes: verticalit? et horizontalit?, ?paisseur et collage, cette proc?dure d’ellaboration se produit en deux temps:

– le premier temps est classique dans sa m?Thode: emprunts ? partir des copies des oeuvres de Cesanne par example.

– le deuxi?me temps est de laisser s’?chapper un oue, une s?ve de cette m?Thode, s?ve toute ? la foit spirituelle, ?motionnelle et savante.

Il par du mur, de son mat?rialit?, Le cadran carr? ou rectangulaire dont il a pris possession en copiant les maisons peintes de Cezannes ou Braque dans sa ville D’Estaque, puis transpos? matériau this? en ciel. Celui-ci prend un autre corps, une autre substance: une ?motion -paradoxalement- par l’alchimie d’une superposition d’un corp mat?riel et d’une lamentation ouverte vers les cieux qu’il tente desormais d’entrevoir.

Et ce mur rappelle celui originaire et rep?re de tout un peuple, le mur des lamentations du Temple de Salomon ? la Jérusalem? s’est pos? peut-?trois, pour la premi?re fois, alors enfant, ce premier regard mouill?, innocent. Ce regard devient ? Tour fils r?F?rence – Noltige- Je gr? de son voyages o? son esprit comme la feuille morte, la juge morte tourbillonne, et se tourne gr?ce ? un vent devenu souffle, espace, horizon.

Et il le repousse -ce regard- au plus loin- toujours- vers “ce mouill?” peint, qu’il tente d’approcher sans vouloir y demeurer: “Le refugier dans l’insaisissable” ce Nitzche, tendre, vers la recherche d’une extase appais?.

Son exile se dessine et se peint aux fronti?res d’une terre miroitante de ses reflets solaires – quelqu’ en soit le lieu -? bûche? dans une verticalit? ascensionnelle, bien “au dessus des miradors” et loin des guet-ajeus. Gradations aux bords que l’on retrouve chez Barnett Newman dans son oeuvre “Abysse Euclidien” de 1945. Ils sont exilées ou? le bleu du ciel et de la mer-m?ré ?voque une spiritualit? profonde et haute, ? atteindre. Pour cela, un accolement sans fin.

“Le mur de l’Acropole” chez Baudelaire ou des “Lamentations” chez Eliany et le lieu d’une ruine, d’un h?ritage sur lequel se b?vous appelez la gr?ce au don de sa mutation, en une fen?trois esp?Rancé, d’apparence. la? la loi de l’artiste n’est pas seulement raison mais aussi vie, chaire et lumi?ré. marais?tre qui se trouve parfois pos?e sur une jambe comme celle de cet enfant Sinayit preuve de cette marche par et vers un corps innocent o? s’imagine comme le symbole d’une route ? tracer et ? voir.

Ici, l’oeil est embr? et la larme venant du fond du coeur une perle.

Les portes de bienvenue – Paysages marocains

Marc Eliany – Paysages marocains – Paysages marocains

ciel bleu clair véhiculent? l'optimisme et de l'ouverture de la société marocaine dans les scènes de la vie quotidienne.

Venez mon amour -Marc Eliany

Viens
Mon amour
Buvez mes raisins.
Lécher
Le jus
Sur tes lèvres
et montre
Les étoiles sourire,
Pour la lune
danse.

Cafe de L’Oudaya

Huile sur toile 1993, Vienne (24 X 28.5 dans.)
Huile sur toile 1993, Vienne (24 X 28.5 dans.)

Le jardin de mon bien-aimé – Marc Eliany

Vert sont les raisins
Dans mon jardin bien-aimé
Ses lèvres
rouge écarlate.
Et ses baisers
Le goût du vin.
Mais dans mon pays
Mes amis sont dispersés
comme rubis
Chez les porcs’ stalles.

La fontaine – La fontaine

http://farm9.staticflickr.com/8176/8066167569_1bdfdcea5a.jpg

Huile sur toile cartonnée 1993, Vienne (27.9 X 35.5 cm
Huile sur toile carton?e 1993, Vienne (27.9 X 35.5 cm)

Casablanca Paysage

Huile sur toile cartonnée 1993, Vienne (27.9 X 35.5 cm)
Huile sur toile carton?e 1993, Vienne (27.9 X 35.5 cm)

Paysage marocain I – Horizon Marocain I

Huile sur toile cartonnée 1993, Vienne (27.9 X 35.5 cm)
Huile sur toile carton?e 1993, Vienne (27.9 X 35.5 cm)

Les portes de bienvenue – Les amoureux

Marc Eliany – Les amoureux – Les amoureux

Les regards derrière les voiles portés par les femmes marocains révèlent une forte passion pour l'amour et le lien humain. Beaucoup de femmes portaient le voile dans mon enfance. Aujourd'hui, beaucoup ne le font pas. Ce qui était un symbole de l'humilité dans une société traditionnelle implique l'oppression dans un moderne. À travers le changement, Les femmes marocaines ont trouvé un moyen d'exprimer leur soif de vie avec leurs yeux. C'est un hommage aux femmes marocaines.

Femmes voilées je

Pigments de couleur huile et marocain sur le jute,
1993, Vienne (35.5 X 55 pouces)
Femme Voil?Et moi
Huile et pigments Marocains sur jute,
1993, Vienne (35.5 X 55 pouces)
Les amoureux – Marc Eliany

porcin?re le voile des femmes marocaines: passion pour l’amour et les liens humains. De nos jours, plusieurs ne le portent pas. Ceci est un hommage que je leur rends.

Épouses berbères – Marc Eliany

J'adore les mariées berbères habillées colorées. Ils sont tellement étonnants qu'ils éclipsent leurs mariés. J'ai superposé une mariée sur un marié pour les montrer comme une entité inséparable. Des pigments d'huile marocaine ont été posés sur la toile, Laissant une impression de henné fraîchement appliqué sur les cheveux d'une mariée.

Le henné, Une plante verte s'est transformée en bonne chance, est porté comme une couronne, courir vers le bas des cheveux mouillés, L'imprégner d'une teinte rougeâtre.

Mariée et marié après le henné

Pigments de couleur huile et marocaine sur toile
1993, Vienne (70 X 90 cm)
Les maries apres le henna
Huile et pigments Marocains sur toile,
1993, Vienne (70 X 90 cm)
Les mari?Il berb?res – Marc Eliany

J’aime les mari?Il berb?res habill?es de couleurs. Elles sont si magnifiques qu’elles ?clipsent leur ?poux.
L’huile et les pigments de couleurs sur la toile laissent une impression de henn? de?chement appliqu? sur les cheveux de la mari?e.
Lehen?, une plante verte devenue symbole de bonne chance, est port? comme une couronne, coulant le long des cheveux mouill?s et laissant une teinte rouge?trois.

Roosters amoureux dans le Mellah

Huile sur toile, 1993, Vienne (80 X 90 cm)
Coqs amoureux aux Mellah
Huile sur toile, 1993, Vienne (80 X 90 cm)

Mes yeux pris vos lèvres – Marc Eliany

Mes yeux pris vos lèvres.
Un jardin
Une pelouse
Et ainsi de suite
Arbres en herbe,
Fleurs
Et fruits mûrs
Aussi.
Il
Qui ne mordent pas,
Est-ce que portera son péché;.

Lovers en nu

Huile sur toile acrylique et à réception de plâtre,
1993, Vienne (18.75 X 23.5 dans)
Amoureux nues
Huile sur toile platr?e et enduite d’acrylic,
1993, Vienne (18.75 X 23.5 dans)

pas dormir! – Marc Eliany

pas dormir!
Boire mon vin!
Faire
Mon jardin
Votre lit.
Siroter
En joie
Ma floraison.
délices parfumés,
Une promenade de la rivière,
Oiseaux chantants.
Le son de
Tes lèvres
Dans mon jardin!

Femme voilée par une journée ensoleillée

Huile sur toile, 1997, Vienne (27.9 X 35.5 cm)
Femme voil?e une journ?e ensoleil?e????
Huile sur toile, 1997, Vienne (27.9 X 35.5 cm)

Viens mon amour – Marc Eliany

Viens mon amour
Dans mon jardin
Les roses sont en fleurs,
Leur parfum enivrant.
Bois avec moi
Pour le lever du soleil
Et les oiseaux chantent.

Les portes de bienvenue – Marchés

Marc Eliany – Les marchés

Les Marches

Le coton et la laine teintes brillantes me fascinaient alors que je parcourais les marchés et les artisans’ quartiers, danser sur ma tête? au rythme d'une brise légère, Me rappeler une coutume énigmatique: Femmes berbères dansant en ligne, Choisir un homme à épouser? dans un mariage symbolique qui dure? sept jours!

Chasser les esprits

Huile sur toile cartonnée, 1993, Vienne (50.8 X 60.9 cm)
Dance nocturne
Huile sur toile carton?e, 1993, Vienne (50.8 X 60.9 cm)

Les Marches – Marc Eliany

Lorsque je d?ambulais?? ? travers les march?s et les quartiers d’artisans,? j??tais ravi? ? la vue du coton et de la laine teints en couleurs vives. Suspendus au-dessus de ma t?à, ils dansaient au rythme d’une brise l?g?ré, me rappelant une coutume berb?ré ?nigmatique o? les femmes s’alignent pour danser, choisissent un mari pour un mariage qui ne durera que sept jours!

Souhaite une bonne journée ensoleillée sur le marché

Huile sur toile, 1993, Vienne (50 X 60 cm)
Voeux pour une journ?e ensoleil?Et une marche?
Huile sur toile, 1993, Vienne (50 X 60 cm)
Les marchés animés – Marc Eliany

Les marchés animés ont ravivé mon âme chaque fois que je visitais mes ancêtres’ terre. Je me souvenais de Granpa assise parmi ses épices et tante Sarah se baignait parmi des robes colorées qui devaient couvrir les femmes de chambre berbère.

Après le marché par une bonne journée ensoleillée

Huile sur toile, 1993, Vienne (50 X 60 cm)
avr?s le march? une journ?e ensoleil?e
Huile sur toile, 1993, Vienne (50 X 60 cm)
Groves d'orange – Marc Eliany

Juste à l'extérieur de Beni Melal, Mon lieu de naissance, Il y a des bosquets d'orange à ce que l'on puisse voir. J'ai vécu à Beni Melal jusqu'à l'âge de quatre ou cinq? Et dans mon esprit, Les bosquets étaient comme une mer de champs verts avec des oranges flottant dessus, au-delà de ma portée en tant qu'enfant. Cela tenait pour l'image acquise d'un fruit accroché à un arbre, devait me déplacer pendant de nombreuses années après.

Orange in Green Study

Huile sur le tableau de toile à rémunération en acrylique et en plâtre,

1993,Vienne (40 X 50 cm)
Orange dans le vert
Huile sur tuile carton?e, plâtre?e et enduite d’acrylic,
1993, Vienne (40 X 50 cm)

Carpets marocains I – Tapis Marocains I

Huile sur toile cartonnée, 1993, Vienne (27.9×35.5 cm
Huile sur toile carton?e, 1993, Vienne (27.9×35.5 cm)

Les portes de bienvenue – Pèlerinage

Marc Eliany – Pèlerinage

Les Marocains sont consacrés au pèlerinage. Les pèlerins plaider leurs saints pour intercéder en leur faveur pour leurs vœux exaucés: bonne santé, un mari ou une femme, la fertilité, un petit garçon, un bébé fille, chance, Pluie en saison, Des cultures abondantes ou une saison prospère sur les marchés.

J'ai également été impressionné par l'admiration du peuple marocain à leurs rois, Surtout au décédé Moulay Youssef. Cela équivaut à une révérence sainte.

Dans ma peinture, Fidèles abonnés, La royauté et la sainteté s'unissent pour suggérer un lieu saint, une couronne, l'œil protégeant d'un roi bienveillant, Peut-être un saint et une foule colorée de fidèles abonnés.

Le p?lerinage – Marc Eliany

Les veux des p?lerins rassemblent les Marocains autour des tombes des saints. On cherche le salut,

le pardon est accord?? et des promesses sont formul?voici. Se plier?s sur les arbres ou grav?s dans un rocher, des v?ux de longue date:? un poisson pour la fertilit?, une main,? un ?il pour prot?Donnez-vous Grind, le rouge pour le sacrifice et le vert pour l’abondance.

Pour les Marocains, le p?lerinage est une d?Votion. Les p?lerins prient leurs saints d?inter-?der en leur faveur, ou que leurs v?ux soient exauc?s: une bonne sant?, un homme ou une femme ? marier,

L'engrais?, une fille, et le long?sur, la bonne fortune, la pluie en saison, des moissons abondantes ou une bonne saison au march?.

Cavalman royal à cheval sur une vague

http://Farm9.staticflickr.com/8175/8066107921_626828D924.jpg

Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)
Cavalier royal Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)
Cavalman royal chevauchant une vague -marc eliany

Dans Royal Cavalman à cheval sur une vague, vert et rouge, Les couleurs du drapeau marocain, et les gardes royaux à cheval? Porter des uniformes de cérémonie vient à l'esprit. Depuis mon enfance, Je me souviens d'un garde vêtu d'un uniforme coloré, un gilet rouge, Bottoms noir, Une tunique verte et des gants blancs neige, souriant à moi.

J'ai peint le garde en chevauchant ce qui peut être un cheval ou une vague, Parce que j'aime la couleur de la mer Méditerranée à Rabat et à cause du respect que j'ai pour Moulay Youssef et Sa Majesté Hassan II, Les rois du Maroc, Maîtres du consensus, qui a surmonté les différences sociales et ethniques.

Pèlerin? Souhaits en vert sur rouge

Huile sur toile, 1993, Vienne (40 X 60 cm)

Les veux en vert et rouge
Huile sur toile, 1993, Vienne (40 X 60 cm)
Pèlerin’ vœux – Marc Eliany

Pèlerin’ Souhaitement rassembler les Marocains autour des tombes des saints. Là, Le salut est recherché, Le pardon est accordé et des promesses sont faites. Sculpté sur un arbre ou un rocher sont des souhaits intemporels: un poisson pour la fertilité, une main, un œil pour garder le mal, Rouge pour le sacrifice et le vert pour l'abondance.

Chasser les esprits en bleu

Huile sur toile cartonnée, 1993, Vienne (50.8 X 60.9 cm)
Dance nocturne en bleu
Huile sur toile carton?e, 1993, Vienne (50.8 X 60.9 cm)
Grounds saintes – Marc Eliany

Quand les pèlerins ont marché sur des terrains saints, La présence de saints les habitait, leurs cheveux se tenaient, Les prières et les souhaits sont sortis de leur bouche comme s'ils les connaissaient par le cœur de l'ancien temps ancien. Et quand un oiseau a volé sur une tombe ou lorsqu'une pluie tomba soudainement d'en haut, Pèlerins remplis de joie:

“Le saint est ici!
Le saint est venu!
Pour bénir
Pour guérir,
exaucer les vœux, et
Le cœur désire!”

Et les pèlerins ont plongé les mains dans les saints’ l'eau et l'étalez sur leurs yeux et leurs lèvres et leurs oreilles et toutes les autres parties de leur corps qui ont envie d'un remède. Ils sont allés aux saints pleins d'angois et ont laissé heureux et contenu que tous leurs souhaits seraient satisfaits…

Les portes de bienvenue – Les portes de bienvenue

Marc Eliany – Les portes de bienvenue – L’arche de la tolerance

Mes ancêtres ont vécu dans le Maghreb pendant de nombreux siècles. Dans notre mémoire collective, Cette terre est associée à un abri et à des relations chaudes de voisinage, malgré les temps difficiles. Ce fait a été confirmé à maintes reprises. Dans mes propres pèlerinages au Maroc, Je suis accueilli comme un frère revenant d'un long voyage.

Ouvrez les portes et les fenêtres, Dans les couleurs marocaines vives typiques, transmettre dans mon travail la bienvenue et la chaleur, auto-examen et désir de tolérance.

Portes de bienvenue en rouge ?????

Huile sur toile, 1993, Vienne
(70 X 100 cm) L’arche de la tolerance Huile sur toile,
1993, Vienne (70 X 100 cm) L’arche de la tolerance
Marc Eliany

Les portes et les fen?tres ouvertes, aux couleurs vives typiquement marocaines, sont un message d?accueil et de chaleur, le regard sur soi-m?me et le d?Sir de Tol?Rancé. Pendant plusieurs si?cules, MOIS ANC?Tres ont v?cu dans le Maghreb. Dans notre m?moire collective, cette terre est associ?e au refuge, aux relations chaleureuses, malgr? l?exp?Rience de P?riodes difficiles. Au Maroc, je suis le bienvenu, Tel A FR?re revenant d’un long voyage.

Tour en jaune et rouge – Tour en Jaune et Rouge

Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)
Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)

En vagues

Marc Eliany

En vagues, Mes ancêtres ont trouvé leur chemin vers le Maghreb. Ils étaient marchands dans des bateaux naviguant le long de la côte de l'Afrique, Warriers chassant les Cananéens fuyant mais surtout les réfugiés échappant à la persécution des Égyptiens, Perses, Babyloniens, Grecs,Romains, Arabes et chrétiens. Et vague après vague, malgré les difficultés réocructes, Ils ont fait du Maghreb leur maison.

Gates d'accueil en turquoise et blanc – L’arche de la tolerence en blanc

Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)
Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)

Ma maison en ruines
Marc Eliany
buvez,
Mon amour.
Remplir ma tasse!
Permettez-moi à boire
Ma peine.
Pour ma maison
Est en ruine
Et les cieux
Reste immobille.

Portes de bienvenue en rouge sur jaune – L’arche de la tolerence en rouge et jaune

Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)
Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)
Rouge comme mes larmes – Marc Eliany

Du vin
rouge
Comme mes larmes
Pour ma perte
Pour mon bien-aimé
En ruines.

Le refuge – Le refuge

Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)
Huile sur toile, 1993, Vienne (70 X 90 cm)

Eliany Marc – Eroba Eroba: Vienne 1997

Eroba est l'Europe pour un Marocain et Eroba Eroba est une vision de l'Europe d'un point de vue non européen. L'exposition a été parrainée par la Zurich Kosmos Corporation à Vienne en Autriche en mai-juillet. 1997. C'était une exposition très médiatisée avec 500 affiche sur les panneaux publicitaires dans toute la ville. Voici une des affiches sur le Kertner Ring.